24 août 2009
pour illustrer
la bonne réponse donnée par coco et festina au dernier kékséksa...
Nostalgie des énoiseuses assises sur le pas de la porte de leur client, une pierre plate posée sur les genoux, la «tricotte» à la main : un coup sec du maillet pour briser la coquille puis l'extraction du cerneau, à la main, délicatement pour ne pas l'abîmer.
En Périgord on énoise toujours comme autrefois. Ce geste ancestral pour séparer cerneau et coquille a traversé les siècles.
Il contribue à ce que la qualité du cerneau de Noix du Périgord reste le fleuron de la production périgourdine.
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